Auteur/autrice : Benoit

  • Mai : un peu de terre ferme entre les ponts

    Flyer mai 2012 recto

    Vendredi 11 mai 20h30 CLAUDE PARLE (accordéon) NUSCH WERCHOWSKA (piano et accessoires) MARGUERITE PAPAZOGLOU (danse)- 1ère partie : μ (ν) conception et danse – Marguerite Papazoglou- musique – Claude Parle – scénographie – Andréas Linos – 2ème partie : Rencontres probables Nusch Werchowska, Claude Parle, Marguerite Papazoglou, Andréas Linos Samedi 12 mai 20h30 NICOLA SOUCHAL (trompette) BENJAMIN DUBOC (contrebasse) JULIEN MARTIN (voix) Dimanche 13 mai 18h00 KRISIS : THIERRY MARIETAN (contrebasse et guitare) ALEXANDRA GRIMAL (saxophone) KARSTEN HOCHAPFEL (violoncelle) PAUL WACRENIER (piano)

    Ackenbush 3 rue Raymond Fassin Malakoff – A 3 minutes du métro Malakoff Plateau de Vanves – Vélib 22402 – ackenbush.com – [email protected] – 09 79 55 61 90 – Association loi de 1901 Adhésion et 1° entrée 15 € PAF adhérents 10 €

  • 31 mars

    31 MARS

    18 H00

    Présentation du treizième leporello de la collection Derrière la vitre

    chez Jean-Pierre Huguet éditeur

    Trois variations

    en présence de l’auteur Jean-Pascal Léger et du peintre Antoni Ros Blasco

    CouvDlV N°13 19 h

    projection du film réalisé par Jean-Louis Leone : Dans l’atelier d’Antoni Ros Blasco

    20 h

    Dédicace des auteurs

    21h00 CONCERT

    RELENTLESS

    Artur Vidal & Sébastien Branche

    saxophones

    Relentless

    Relentless est un projet de création sonore expérimentale autour du saxophone. Notes tenues, respiration continue, sons multiples, accessoires, sont autant d’éléments récurrents à chaque fois mis en jeu dans une dialectique entre un idiome qui se crée à force de pratique, et la nécessité d’un geste improvisé pour une musique qui veut prendre en compte chaque son et chaque instant dans son écriture

    www.relentless.es

    PAF 10 € adhérents

    adhésion 5 €

  • Evénements à venir

    Samedi 17 mars 20h30

    Patrick Defossez, piano, Anne-Gabriel Debaecker, électro acoustique

    2dlyres.net

    Samedi 31 mars 18h00

    Présentation du 13° ouvrage de la collection

    « Derrière la vitre » en présence du peintre Antoni Ros Blasco

    et de l’écrivain Jean-Pascal Léger. Projection du film réalisé par Jean-Louis Leone

    derrierelavitre.com

    Samedi 31 mars 21h00

    « Relentless »

    Arthur Vidal et Sébastien Branche, saxophones

    relentless.es

    Dimanche 8 avril 19h00

    Ackenbush hors les murs avec l’atelier Tampon et Ayler Records

    « Les temps du corps » 10 rue de l’échiquier 75010

    A l’occasion de la sortie du disque de « Snus »

    Joel Grip, contrebasse, Didier Lasserre, batterie, Niklas Barnö, trompette

    ayler.com

    Jeudi 12 avril 20h30

    Hugues Vincent, violoncelle, Maki Hachiya, voix, Chia Yin Ling, danse

    myspace.com/huguesvincent

    Vendredi 13 avril 20h30

    Jobic le Masson, piano, Benjamin Duboc, contrebasse, Didier Lasserre, percussions, Jean-Luc Guionnet saxophone alto

    jobic.lemasson.free.fr, benjamin.duboc.free.fr, didierlasserre.free.fr, jeanlucguionnet.eu

  • Patrick DEFOSSEZ & Anne-Gabriel DEBAECKER le 17 mars

    Samedi 17 mars 20h30

    Patrick DEFOSSEZ & Anne-Gabriel DEBAECKER

    piano et électroacoustique

    Pm Agm

    « Pourquoi tant de…? »

    Œuvre plastique où le geste instrumental à voir est aussi important que le son, en convergence d’esthétiques et connivences subtiles entre jeux pianistiques acoustiques et textures électroacoustiques sculptées live, une œuvre qui immerge le public dans l’intimité des sons improvisés s’énergisant peu à peu vers un jazz aux multiples facettes … pour une musique de chambre d’aujourd’hui,

    « Pourquoi tant de…? » sorti chez le Label anglais Leo Records – CD LR 608 et distribué par Orkhêstra, salué par la Presse spécialisée française et internationale, cet album fait partie des “Étoiles 2011”, disques favoris de la rédaction de CultureJazz.fr

    Textures, silences, souffles infimes, vélocités, thématiques au phrasé bouillonnant, points de rendez-vous, chants instrumentaux, grooves évolutifs, respirations, lyrismes monodiques, polyphoniques, … construisent un programme musical évolutif sous la forme d’une Suite.

    Une Suite “plastique” en noir et blanc (textures pianistiques) et couleurs (sculpture électroacoustique live).

    Une Suite éclairée de timbres d’ombres, d’amplitudes contrastées, de quasi silences, de spontanéités, de subtilités toutes en douceur, d’entrelacs de phrases s’évaporant dans l’espace.

    Une Suite modelée par la main, le geste, le jeu, … partagée en solo et duo.

    Patrick DEFOSSEZ & Anne-Gabriel DEBAECKER

    L’un est de formation classique augmentée d’un parcours jazz/musiques improvisées, l’autre architecte, compositeur de matières à improvisation.

    En tant que compositeurs, ils privilégient un Art des Compositions, une “polyphonie de styles” entre les langages de la musique “savante” écrite, électroacoustique et mixte (instrument et lutherie électronique).

    En tant qu’interprètes, ils privilégient le piano d’aujourd’ « ouï » improvisé, contemporain, les lutheries électroniques, s’attachent aux interactions entre piano solo et piano électroacoustiquement “accompagné”, aux rapports entre écritures strictes et écritures éphémères de l’instant.

    http://2dlyres.net

    Ackenbush 3 rue Raymond Fassin Malakoff

    ackenbush.com[email protected]09 79 55 61 90

    Association loi de 1901 Adhésion et 1° entrée 15 € PAF adhérents 10 €

  • Librairie éphémère et Théatre les 11 et 12 février

    Listeauteursbleu ,

    Samedi 11 et dimanche 12 février 10h00/17h00

    Entrée libre

    Librairie éphémère

    Les collections de Jean-Pierre Huguet éditeur

    editionhuguet.com

    Samedi 11 février à 18h00

    Théâtre

    Joëlle Aubert – ”Diotime et les lions” de Henry Bauchau

    Association loi de 1901 Adhésion et 1° entrée 15 € PAF adhérents 10 €

    «DIOTIME ET LES LIONS»

    Diotime – une petite fille sauvage, pleine de forces et de désirs enfreint les lois de son clan, gagne sa liberté de femme et accède à la sérénité en combattant des lions.

    Un récit qui croise des univers apparemment antithétiques – la culture grecque et son organisation rationnelle et policée face à la fureur des tribus chasseuses de lions. Désir d’apaisement, possible uniquement dans la réconciliation du corps et de l’esprit, croisement des mondes occidental et extrême-oriental ….

    Il y a dans ce texte quelque chose qui l’apparente aux récits homériques et demande une réceptivité proche de l’abandon.

    Henry BAUCHAU

    C’est par la psychanalyse qu’Henry Bauchau, né en 1913, entre en écriture. Poète, romancier, dramaturge : son premier recueil de poème -Géologie- paraît en 1958 et obtient le prix Max Jacob. En 1960, Ariane Mnouchkine monte sa pièce –Gengis Khan- aux Arènes de Lutèce.

    Par son cycle mythologique – Oedipe sur la route (1990), Diotime et les lions (1991), Antigone (1997) il accède à une reconnaissance mondiale.

    Bauchau mêle l’enthousiasme mystique et la connaissance de l’Antiquité à la psychanalyse, aux philosophies asiatiques et à la foi chrétienne. C’est ainsi qu’il définit son art : «L’inspiration est toujours délirante, dionysiaque – pour reprendre l’expression de Nieztzsche. Elle a besoin de la conscience ordonnée, musicale, apollinienne. C’est un équilibre. Quand Alexandre Le Grand brûle le palais de Persépolis, il fait basculer la Grèce sous la suprématie de Dyonisos. Elle ne s’en est jamais relevée.»

    Joëlle AUBERT

    Formée à la danse contemporaine par Karine Waehner ; agrégée de russe et passionnée de théâtre elle dispense son enseignement dans ces deux disciplines. Au Lycée de Montgeron, elle a formé pendant plus que quinze ans les élèves de section théâtre en collaboration avec des comédiens et des metteurs en scène : Claire Le Michel, Brice Beaugier, Julien Parent, Jean-Paul Mura, Philippe Berling.

    Dans sa pratique théâtrale elle s’intéresse à la mise en voix et en espace de récits. Elle donne corps à des textes tels que « La vie d’André Dufourneau » (tiré des « Vies minuscules » de Pierre Michon) , les nouvelles de Jean Pierre Otte, Bernard Quiriny, Beckett (« Molloy »), Marcel Spada. Henry Bauchau lui offre la possibilité d’explorer l’épopée avec « Diotime et les lions ».

    Elle intervient depuis deux ans à la Sorbonne aux côtés de Berhnard Engel dans le cadre de l’atelier de lecture à voix haute où elle dirige la préparation physique des étudiants.

    REGARDS SUR « DIOTIME »

    Joëlle Aubert a commencé par m’étonner quand elle m’a annoncé qu’elle allait jouer tout le texte du début à la fin, apprendre et jouer le livre en entier. Il n’y a plus grand monde de nos jours pour apprendre des livres en entier dans nos contrées. Et puis elle a joué avec une sobriété , une rigueur, une justesse exemplaires. Incarné tout en restant à l’exacte distance. Courage de plonger dans les grands abîmes de nos interdits, des pulsions animales, des tabous de nos «plus lointains souvenirs». Ces lointains où sont d’incessants échanges, d’incessants allers-retours entre les espaces et les temps – entre Orient et Occident, entre masculin et féminin, entre les générations et les âges. Ces lointains qui sont d’infinies traversées de contraires.

    Philippe Berling, metteur en scène, 7 janvier 2007

    Ceux qui la connaissent savent que Joëlle Aubert est de ces gens qui aiment lire, lire pour soi-même certes, mais aussi lire à voix haute, relire un texte aimé pour le partager avec des élèves, des amis, un public. Lire comme on donne. Peut-être n’est-ce pas un hasard si Diotime et les lions commence par un don : ce don que fait Cambyse à Diotime d’un poulain ; le don de la double vie qui est celui de l’enfance et de l’âge adulte en même temps ; le don du double sexe, masculin et féminin conjugués. L’humain, l’animal et le divin ensemble, tout cela est donné dans le pacte de sang conclu avec les lions. Mais on ne saurait donner que ce qu’on s’est d’abord pleinement approprié. Telle est encore la leçon de l’amour exclusif de Cambyse pour Diotime. La mort qui réunit l’ancêtre et le vieux lion est à la fois une transmission et une restitution : transmission de la lance du vieux chasseur au jeune Arsès et restitution de la jeune fille à elle-même. Sans doute est-ce ce qui rend si sensible le mouvement par lequel Joëlle Aubert abandonne le livret d’Henry Bauchau, le mémorise, se l’approprie pour le restituer à l’espace commun de la scène. Elle ne tente pas de le théâtraliser. Ce qu’elle joue, c’est le sens même de ce qu’est une transmission. Sa fidélité à l’esprit du mythe tient à cela : faire en sorte que ce qui s’annonçait comme une lecture se mue peu à peu en mémoire de l’immémorial. On ne peut mieux comprendre ce que c’est qu’apprendre par coeur.

    Christian Drapron, dramaturge, 3 janvier 2007

    Joëlle Aubert – passeuse de mots de Bauchau … A l’image de la simplicité de Bauchau, son petit livre sur un banc…. En réponse à la gravité et à la profondeur du texte, les couleurs dont s’est vêtue Joëlle ; et puis cette diction, la voix profonde, dense, d’emblée respectueuse des silences… Avec les mots d’Henry Bauchau qui sont devenus siens, elle nous emmène dans la quête de cette Diotime, loin des sentiers battus, sur les chemins de l’exigence, de l’amour, de la découverte de soi, entre barbarie et civilisation

    Françoise Etchevry -«Théâtre Toujours», 26 novembre 2006

  • Jean-Luc Guionnet, Seijiro Murayama le 28 janvier

    Jean-luc Guionnet, saxophone alto, Seijiro Murayama, percussion www.jeanlucguionnet.eu

    Jlgsmbrest1 Les qualités et les quantités singulières du lieu sont pour nous la condition première de notre musique, la pichenette qui nous fera jouer comme-ci plutôt que comme-ça. Ce qui implique forcément une grande diversité de résultats d’un concert à l’autre. Pour dire, qu’entre notre humeur du moment (puisqu’il est dit que forcément nous en avons une), l’architecture et l’acoustique du lieu, le type d’attention du public et les caractéristiques du bruit de fond, le lieu et le moment passent au filtre de notre propension à jouer ou à ne pas jouer (ceci ou cela). Jean-Luc Guionnet

    Ce duo a commencé comme un projet d’improvisation purement musicale. En 2006, il a été intégré par Catherine Diverrès dans un projet chorégraphique (Blowin’), tout en poursuivant en parallèlement son chemin original. Structure, présence des danseurs, lumière, objets, tous les éléments de cette création nous ont obligé à trouver des modes de jeu musicaux complètement différents, malgré l’engagement fort du projet dans l’improvisation qui nous est familière. D’où est né, l’idée de trouver d’autres champs d’exploration pour le duo. En supposant le « non-concert » comme situation, par rapport à l’espace, au temps, au silence, etc. Faire un concert comme non-concert. À la recherche de l’absence. Murayama Seijiro 1° partie : Antje Vowinckel – orgue et objets

    025-2

    www.antjevowinckel.de Artiste sonore allemande, en résidence à la Cité des Arts de Paris. Elle compose pour la radio et s’inscrit dans le paysage de l’ “Echtzeitmusik” de Berlin entre Musique improvisée, Free Jazz, musique expérimentale etc… parmi des musiciens comme Annette Krebs, Andrea Neumann, Axel Dörner, Kai Fagaschinski, Ignaz Schick…

    adhésion et 1° entrée 15 € PAF adhérents 10 € Chaque spectacle est suivi pour ceux qui le souhaitent d’une table ouverte pour laquelle vous pouvez apporter votre écot sous forme de plat ou de boisson

  • Un bien beau début d’année

    Chez ackenbush le 31 décembre, Joëlle Léandre et alexandra Grimal nous ont souhaité la bonne année.

    On en parle encore dans les chaumières.

    Aljo