Blog

  • Philippe Lhomme le 13 juin

    Chez ackenbush le samedi 13 juin à 20h30 et le dimanche 14 juin à 17h00

    PHILIPPE LHOMME Child’s play

    projet plastique et musical en collaboration avec Yuji Sagae et François Sardi

    et signature du 7ème leporello de la collection « Derrière la Vitre » – Jean Pierre Huguet éditeur.

    L’exposition est ouverte du 13 au 28 juin, les week-end de 14h à 19h et en semaine sur rendez-vous – 06 88 46 08 52 –

    Invit_13juin_

  • Ossip Mandelstam

    Les samedi 16 et dimanche 17 mai 2009 de 14 à 19 h

    dans le cadre des ateliers portes ouvertes de Malakoff ( http://ateliersouverts.overblog.com)

    ackenbush ouvre ses portes pour présenter les

    livres d’artistes de la collection « derrière la vitre »

    avec l’éditeur Jean Pierre Huguet.

    A cette occasion nous avons le plaisir et l’honneur de vous proposer une

    lecture de textes d’Ossip Mandelstam par François Marthouret et Anne de Stael.

    Le samedi 16 mai à 17 h

    Soyez à l’heure, les portes seront fermées à 17 h précises.

    Invitation Lecture Mandelstam mail

    On ne peut détacher la barque non amarrée,

    Ni entendre l’ombre chaussée de fourrure,

    Ni vaincre, dans la vie épaisse, la peur.

  • les rencontres du livre-film 19 et 20 mars 2009

    Livrefilm mini

    Un livre-film est un livre mis « en film », mais ce « en » est ambigu, car il n’implique pas une conformité entre le texte et les images. Il en signe même la rature. Un livre-film est ambigu car il n’est pas l’adaptation d’un livre dans un film. Le livre est bien présent aux images, mais on ne le retrouve pas dans les images. Sa présence est off, disjointe. Ainsi, un livre-film propose une rencontre texte/image, sans qu’il y ait illustration du texte par l’image, ni commentaire de celle-ci par celui-là. Et la musique peut s’en mêler. Bernard Collet

    Les rencontres du livre-film se tiennent chaque année depuis 2006 en Rhône Alpes à l’initiative de l’éditeur Jean-Pierre Huguet et de l’écrivain Bernard Collet.

    ackenbush avec le soutien de la ville de Malakoff propose une sélection parmi les films projetés lors des trois premières rencontres. Cette sélection est axée autour du thème

    « l’exil, l’immigration, le passage des frontières »

    Projection le jeudi 19 mars à 20h30

    au cinéma Marcel Pagnol de Malakoff, 17 rue Béranger

    Rencontres le vendredi 20 mars de 18h à 22h

    rediffusions et autres propositions chez ackenbush, 3 rue Fassin

    Plan

  • Hommage a Betty

    Nous vous faisions part il y a peu des revers de fortune qu’avait connu Betty Ackenbush, escroquée par l’aigrefin Madoff, hélas sa santé déjà fragile n’y a pas survécu et elle s’est éteinte à son domicile suite à une foudroyante maladie de Tizzer.

    Ackenbush Malakoff s’associe au chagrin de ses proches. Nous n’oublierons pas sa gentillesse et son engagement de longue date dans les actions.

    Une bréve cérémonie réunira vendredi 20 mars ceux qui l’ont connu où auraient aimé la connaître. Les fleurs sont les bienvenues, elle qui les aimait tant.

    La direction d’ackenbush Malakoff.

    Barbara for ever mini copie

    Nous vous attendons nombreux les 19 et 20 mars pour les rencontres du livre-film qui lui seront naturellement dédiées.

  • ackenbush hors les murs le 6 février

    A la Maison de l’Amérique Latine

    Sous les auspices de l’Ambassadeur d’Uruguay et du chat d’ackenbush :

    Présentation du livre « Le Paradis des mutants » Long poème d’

    ANTONIO ANDIVERO

    illustré de dessins de l’auteur et accompagné d’un film de Matthieu Mounier présentant l’artiste.

    4ème livre d’art de format leporello de la collection Derrière la vitre – Jean-Pierre Huguet éditeur- édité à l’occasion de l’exposition de mai 2008 chez ackenbush.

    Lecture bilingue par Antonio Andivero et Michèle Narvaez

    vendredi 6 février 2009 à 18 h 30

    Maison de l’Amérique Latine – 217, bd Saint Germain – 75007 Paris

    entrée libre

    M° Solférino ou Rue du Bac – RER Musée d’Orsay

    Bus 63, 68, 69, 73, 83, 84, 94

  • Concert Vincent Vuong

    Très beau concert vendredi 19 décembre du duo Vincent Vuong.

    Maintenant sur les ondes : http://www.dailymotion.com/video/x8l0km_concert-vincent-vuong-et-matthieu-m_music

    Etagère préparée, clarinette et accordéon.Concert1

    La neurasthénie des musiciens faisait peine à voir.

    Concert2

  • Olivier Hartemann et Leyn Leynse

    Le 6 décembre à partir de 19h00

    A l’occasion de la signature du sixième ouvrage de la collection « derrière la vitre » d’Olivier Hartemann, poème de Leyn Leynse. lecture de poèmes inédits de Leyn Leynse par Anne de Staël et Eddy Elsdijk.

    Qui tourne le cube chaque nuit sur une autre face

    afin qu’il soit un nouveau jour, de sorte que

    chaque jour possède une autre couleur ? Mail_4

    …/…

    les murs fondent

    avec les langues d’une mer de feu

    malgré cela encore je voudrais y voir

    un visage.

    Leyn Leynse

    Avec le soutien deBz_p_log1_brw_4

  • Exposition Olivier Hartemann

    OLIVIER HARTEMANN

    OEUVRES SUR PAPIER

    VERNISSAGE LE SAMEDI 6 DECEMBRE

    19H présentation et signature du sixième ouvrage de la collection « derrière la vitre » d’Olivier Hartemann, poème de Leyn Leynse.

    21H lecture de poèmes inédits de Leyn Leynse par Anne de Staël et Eddy Elsdijk.

    du 7 au 19 décembre de 14H à 19H.

    VENDREDI 19 DECEMBRE CONCERT DE VINCENT VUONG.

    Mail2_4

    Il y a bien des manières d’échouer en peinture. Celle d’Olivier Hartemann est d’être là, attentif et déterminé, debout, à la perpendiculaire du papier couché. Il regarde du dessus, et ce n’est pas tout à fait faire face. L’eau œuvre, tronque les formes et mêle les teintes.Le papier changé au matin, séché, gondolé, crevé par un blanc luisant qui déborde la forme attendue, et c’est tout le travail du temps. Ses déceptions, ses surprises, ses écarts inscrivent dans le papier une tentative, un flux, une force, une trace de ce que provoque la peinture : la grande fatigue, une âpreté, une cale sèche, une ardeur immense et une petite chose. Il n’y a rien à voir, presque rien et tout est là. Le débat d’une œuvre impatiente et intense, qui s’en tient à des papiers. Dans l’espace très mesuré qu’il s’accorde, un carré, une paire de carrés, une ligne, il libère une grammaire de formes, de fentes, de nœuds,de fronces, qui ont la toute puissance du repli sur le dedans, sur le sombre. Une ombre brûlée écrase presque tout entier le carré clair, le repoussant vers le fond, le réduisant à déborder. Un rouge nez à nez d’un vert léger, et c’est un faux miroir où l’on attendait la réciprocité. Un et un, et point de double. Il suffit d’une ligne noire pour renverser et refaire. Cadres décalés et fines dissymétries, tout résiste au confinement. Si on lit de l’organique dans ces traces, qu’on s’en débrouille. Il n’y a pas de sujets cachés, pas de restes humains, pas d’empreintes d’objets. C’est une géométrie de choses dites plus que de choses vues. Ce sont des paradoxes, des questions, des énigmes et des apologues que transporte ce peintre. Ce sont des guerres et des morts, des disparitions et des promesses, un jeu où sort la Dame de Pique, que cet alphabet des luttes primaires transforme en un opéra rude et mémorable. Un monde absolument incertain se dessine, exposant le peintre à une épreuve aussi violente qu’une performance, avec la simplicité d’une fresque sur le vif.

    Sophie Pène 2008.